Résumé:
Notre travail porte sur la formation idéologique dans l’adaptation du roman intitulé « ce que le jour doit à la nuit » du grand écrivain algérien Yasmina Khadra, adapté par le réalisateur français Alexandre Arcady. D’un côté, l’étude comparative entre un récit romanesque et un récit filmique, nous a permis de dégager l’angle d’attaque de chaque pourvoyeur, celle de l’écrivain, et celle du réalisateur, ainsi détecter les points de divergences entre le roman et le film. D'un autre côté, et comme un critère pour juger une adaptation cinématographique nous avons pris en compte le degré de fidélité réalisable par le réalisateur, nous avons opté aussi que la littérature est un inestimable réservoir pour le septième art. Certes, le cinéma a donné naissance à des nouvelles intrications qui sont fournies pour nourrir le récit littéraire, mais, finalement, la littérature et le cinéma sont deux mondes d’expression différents, et chacun à ses propres normes, dont la littérature est réciproquement une sorte d’horizon de référence pour le septième art.