Résumé:
Ne dit-on pas toujours dans le jargon pédagogique que le manuel scolaire est le bien exclusif de l’apprenant ? Or, dans le travail que nous avons mené, nous avons cherché l’apprenant, chez lui, dans ce qui lui appartient, nous l’avons trouvé mais sous les amoncellements des contenus et dans les angles obscurs de l’action.
Comment faire donc pour mettre en place un manuel qui appartienne réellement à l’apprenant ? Comment élaborer un manuel dans une approche de réussite où tous les apprenants, où qu’ils soient, quelles que soient leurs différences, y trouvent leur compte ?