Résumé:
La neurotoxicité peut être définie comme la capacité de provoquer des effets néfastes
sur le système nerveux central les nerfs périphériques ou les organes sensoriels, elle se
manifeste généralement par plusieurs symptômes et des effets, telles que la maladie de
schizophrénie, Parkinson, Alzheimer et la maladie de Charcot ... Et parmi les facteurs les plus
importants qui affectent le système nerveux les neuroleptiques, ils désignent des médicaments
utilisés dans le traitement de différentes maladies psychiatriques. Agissant directement sur les
neurones, leurs actions se portent essentiellement au niveau des neurotransmetteurs
permettant aux neurones de communiquer, ils peuvent causer des effets indésirables ou
aggraver certaines conditions telles que le syndrome malin ou dyskinésies surtout si le patient
n’a pas respecté la dose prescrite de sorte qu’il tombe dans le danger de surdosage.
L’objectif de notre travail est d’évaluer l’effet neurotoxique d’un neuroleptique
(Chlorpromazine), sur le système nerveux chez les rats Wistar, on a travaillé avec 18 rats
male qui sont répartis en 3 groupes, le premier groupe représente le Témoins traité avec l’eau
physiologie, le deuxième étude subchronique traité avec (CPZ) pendant 45 jours, le troisième
représente dose choque traité avec (CPZ) pendant 72 h, notre expérimentation est devisé en
plusieurs étude ; étude des changements généraux du corps ; détermination des paramètres
biochimiques (analyse sanguine) ; évaluation des métabolites (protéines et lipides ) ;et
évaluation des paramètres du stress oxydatif au niveau (mitochondrial et cellulaire). Nos
résultats de traitement sub-chronique ne montrent pas que « Chlorpromazine » possède une
activité neurotoxique à travers l’absence d’anxiété et dépression à cause la consommation du
CPZ à court termes chez CPZ sub-chronique et CPZ aigue. La diminution de la croissance
corporelle et qu’il influence perturbation sur les paramètres biochimique (ionogramme ; CPK)
chez le CPZ et CPZa. Concernent les lipides et protéines augmentation non significative chez
le CPZ sub-chronique mais significative chez le CPZ aigue notre travail nous a permis
d’établir le lien entre Le surdosage de neuroleptiques et le stress oxydatif nos résultats de
traitement sub-chronique augmentation du taux (GPx GSH mitochondrial et MDA
mithocndriale). Diminution au niveau de (GSH MDA GPx mithocondrial)
Ces résultats signifient que le surdosage de « Chlorpromazine » entraîne une neurotoxicité et
peut causer des lésions nerveuses. Le CPZ peut interagir avec divers organites cellulaires
mitochondries entraînant un dysfonctionnement dans les cellules nerveuses