Résumé:
A l’instar de toutes les villes du monde, la ville Algérienne a subit dès l’indépendance une
pression terrible due à deux facteurs essentiels à savoir :
La croissance démographique et l’exode rural.
Dès l’apparition de ce phénomène, les pouvoirs publics se sont mobilisés pour faire face au
problème.
L’habitat collectif était le choix préféré pour abriter ces citoyens néanmoins une
inadéquation de ce type de logement aux pratiques sociales est apparue d’une manière nette
et ceci dès le début de son occupation.
Partant de trois hypothèses dont au moins une peut être la cause de cette incompatibilité qui
sont soit ; le mode de vie de l’algérien et ses pratique, et la nouvelle politique de production,
ou la nouvelle conception ignorant ses spécificités culturelles, un travail de recherche a été
entamé sur différents plans. Après études de cas d’un quartier d’habitat collectif, en utilisant
différents moyens et techniques, il s’est avéré qu’en plus des hypothèses précédentes,
l’évolution de la société sur tous les plans fait partie des causes de cette inadéquation et par
conséquent de l’abandon de plusieurs pratiques sociales.