Résumé:
Cette présente recherche part du constat d’une évolution des transformations dans un quartier
résidentiel d’habitat semi-collectif dans la ville de Tébessa. La dynamique accélérée de cette
mutation endogène non planifiée menée par leurs occupants a engendré un nouveau mode
d’appropriation de l’espace et une nouvelle architecture est apparue différente. Cette mutation
a été véhiculée dans le but de satisfaction des besoins des occupants, souvent dans l’informel
et sans le contrôle des services techniques concernés d’urbanisme et de construction locaux.
Cette recherche explique ce phénomène en pointant les causes responsables.